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Starbucks

La photo que je vous présente dans cet article a été réalisée lors de mes études en deuxième année de photographie, l’objectif était de réaliser une publicité pour une boisson.

Mon choix c’est porté sur la marque Starbucks, icône de la société de consommation, qui est la première marque de café au monde. Pourtant sa renommé ne doit rien à ses campagnes publicitaires, qui sont quasi inexistantes. Sa renommé est alors liée à la symbolique de son logo, connu de la société, qui est alors véhiculé par les gobelets utilisé par les consommateurs eux mêmes. La société de consommation, qui ne touchait auparavant que “l’élite” de la population, s’est alors élargi à un publique plus large en apparaissant dans les rayons de supermarchés.

Je ainsi choisis la marque Starbucks, pour son packaging design et sobre. Cela m’as permis de donner un aspect monochrome à ma réalisation en accordant la couleur café de la boisson avec le fond. Avec pour objectif de retransmettre l’aspect sophistiqué et apaisant qui se dégage d’une pause café, qui s’encre dans le quotidien des gens.

J’ai souhaité élaborer une atmosphère sacrée, dans le but de mettre en lumière l’aspect haut de gamme de ce breuvage “magique” vendu à prix d’or. Pour cela j’ai créée un rayon de lumière à l’aspect divin pénétrant la scène, permettant de révéler les couleurs sombres et chaudes du packaging, et marquer les ombres, pour que le “caractère” du café soit mis en avant. Pour cela, j’ai utilisé un snoot ( Accessoire modeleur de lumière, utilisé en photographie de studio. Le snoot s’adapte sur une source lumineuse afin de contrôler la direction et la diffusion du rayon lumineux. ).

La mise en scène à pour objectif de donner l’illusion que le café "tombe du ciel" pour se transformer en boisson divine, donnant un aspect mystique, quasi surnaturel et luxueux, à ma réalisation. Qui peut faire écho à l’aspect magique de leur logo avec la représentation de la sirène, dont Starbucks a tiré l’inspiration des mythes scandinaves, métaphore de la séduction.

Au sujet de la postproduction, j’ai dans un premier temps, fait du compositing ( Assemblage de plusieurs photos en postproduction ayant pour but de choisir et de disposer des éléments de façon harmonieuse et de façon à communiquer des idées et des impressions au spectateur. ) ce qui m’a permis d’avoir le maximum de grain présent sur la photo. Puis, dans un deuxième temps j’ai accentué le rayon lumineux. Et en dernier temps j’ai travaillé séparément, puis globalement, la colorimétrie de mon image.